Dans son courrier, Thierry Lepaon, n°1 de la CGT, s'étonne : "J'avoue avoir été surpris à la fois par le nombre de sanctions demandées et les motifs invoqués".
Au total, 250 pompiers (sur un effectif total de 400) ont reçu différentes sanctions pour avoir manifesté, en tenue d'intervention, leur désaccord face à une réduction des effectifs professionnels.
Le patron de la CGT demande le retrait de ces sanctions.
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