Le Pr Philippe Grise, responsable du projet d’implantation du robot Da Vinci, illustre cette réussite en chiffres : “Il a réalisé 405 interventions dont un peu plus de la moitié en urologie. Il intervient également beaucoup en chirurgie thoracique (23 % des interventions).” C’est d’ailleurs dans ce domaine que l’hôpital se distingue : il est leader national pour l’ablation des tumeurs au poumon.
A posteriori, cette réussite était prévue, au vu des atouts du robot. Ce dernier est divisé en deux parties : une console depuis laquelle le chirurgien manipule des bras articulés qui opèrent le patient : “Le chirurgien bénéficie d’une vision en 3D agrandie, les instruments robotiques sont plus fins qu’une main, le robot ne tremble pas et l’opérateur a davantage de confort que lorsqu’il opère debout”, énumère le Pr Grise.
Et les progrès technologiques ne s’arrêtent pas là. “Demain, on aura de la réalité augmentée. Derrière la réalité de l’opération, une image se superposera pour guider le chirurgien.” Et ainsi être encore plus précis.
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