Les faits s'étaient déroulés du 5 au 9 mai 2013 à Vimoutiers, car elle l'aurait trompé. Devant les assises : l'accusé a reconnu les violences conjugales, mais il a nié le viol et la séquestration.
2 experts ont parlé à la barre d'un authentique psychopathe
L'avocat général, expliquant que la jeune victime n'avait jamais été capable d'un consentement envers le violeur, a insisté sur la nécessité de protéger d'éventuelles récidives ; il a décrit l'accusé comme impulsif, intolérant, menaçant : il traite les femmes comme des objets, il n'a aucun sentiment de culpabilité, il faut le sanctionner, le mettre à l'écart de la société pour protéger d'autres victimes, mais aussi pour qu'il se soigne.
Le condamné a injonction de soins et sera sous suivi judiciaire 5 ans après sa sortie de prison. En cas de non respect de ses obligations, il retournera en prison pour 2 années supplémentaires. Il était en détention provisoire depuis les faits ; il est retourné en prison dès le prononcé de la sentence judiciaire. Il a 10 jours pour faire éventuellement appel.
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